_HISTORIQUE D'ACHRAF_ Achraf, un bastion contre l'intégrisme des mullahs La cité d'Achraf se situe au nord de la ville irakienne d'Al-Khalis, à environ 100 au nord de la capitale irakienne, quelques 70 km est de la frontière avec l'Iran. Achraf a été fondée en 1986, après que l'Organisation des Moudjahidines du Peuple d'Iran (OMPI) a transféré son quartier-général de la France en Irak. Ce qui s'appelle aujourd'hui Achraf, n'a été qu'une vaste terrain en milieu du désert sèche. Seul quelques immeubles s'y trouvaient, sans aucune facilités ou infrastructure. Pendant des années, Achraf s'est agrandie dans tous les sens. Achraf est une préfiguration de l'Iran libre de demain, une oasis de paix et de liberté dans le grand désert irakien. Avec une superficie proche de 40 kilomètres carrés, la cité d'Achraf est beaucoup plus qu'un camp de réfugiés. Elle constitue une base de résistance et de rassemblement qui soutient la lutte de la population irakienne contre les menées expansionnistes de l'Iran des mollahs. Les Moudjahidine ont remis leurs armes aux forces de la coalitions mais n'ont pas renoncé à combattre l'intégrisme islamique qui asservit et ruine leur pays natal. Son large soutien de la population irakienne s'est manifesté par une pétition en faveur de la Résistance iranienne qui a recueilli plus de cinq millions de signatures. Pour tout observateur étranger en visite à Achraf, la nature démocratique des relations existant entre ses habitants reste frappant. Ces relations démocratiques internes permettent aux résidants d'Achraf de garder leur unité malgré les conditions difficiles qui les entourent depuis une vingtaine d'années, y compris les bombardements et les tirs de roquettes de la part du régime des mollahs à différentes reprises. Tous les membres de l'OMPI en Irak sont considérés comme des "personnes protégés" par la quatrième convention de Genève. La Force multinationale en Irak, a réitéré à plusieurs reprises, son engagement vis-à-vis des habitants d'Achraf concernant les conventions de Genève. Le Comité International de la Croix Rouge (CICR) a affirmé dans une lettre datée du 20 mars 2007: "Les bases de la loi internationale doivent être respectées pour les résidants du camp Achraf (…) Ces habitants ne doivent pas être expulsés, déportés ou déplacés sur le territoire irakien en violation des lois humanitaires internationales." Dans une lettre du 6 mars 2007, le Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (UNHCR) a affirmé: "l'UNHCR n'a cessé de répéter aux autorités irakiens et aux forces multinationales de se garder de tout déplacement forcé de l'Irak ou même au sein de l'Irak" des habitants d'Achraf. Dans une résolution adoptée le 12 juillet 2007, le Parlement européen s'est exprimé sur les pressions de la part du gouvernement irakien contre la ville d'Achraf et ses résidants: "Le Parlement européen(…) rejette vigoureusement les menaces d'expulsion et de coupure des approvisionnements en combustible et en eau potable faites par de hauts fonctionnaires du gouvernement irakien contre 4 000 membres de l'opposition iranienne qui sont réfugiés politiques en Irak depuis vingt ans et jouissent du statut légal de "personnes protégées au sens de la quatrième Convention de Genève", et appelle le gouvernement irakien à respecter les droits qui sont les leurs en vertu du droit international." Le rapport de la Mission d'assistance des Nations unies pour l'Irak (UNAMI) affirme en avril 2007: "L'UNAMI continue d'étudier les risques que parcours les habitants d'Achraf en ce qui concerne le rapatriement non volontaires vers leur pays d'origine, et fait attention au fait que les résidants ne doivent pas être déportés, expulsés ou rapatriés en violation du principe de non-refoulement et ne doivent pas non plus être déplacés sur le territoire irakien en violation des provisions relatives de la loi humanitaire internationale." Le régime iranien mène une guerre psychologique ainsi que des complots terroristes contre les habitants d'Achraf. Il a notamment entamé deux tir de missile sol-sol contre Achraf le 4 juillet et le 26 mai 2008. Auparavant, deux des résidants d'Achraf ont été enlevés en août 2005. Un autobus transportant des ouvriers irakiens travaillant à Achraf a été pris pour cible en mai 2006 par une bombe qui a coûté la vie à 11 passagers. En juillet 2006, des agents du régime des mollahs ont plastiqué les canalisations d'eau menant à Achraf. En octobre 2007, ils ont essayé d'empoisonner l'eau potable de la cité. En novembre 2007, un autre véhicule transportant des ouvriers à Achraf a été pris pour cible par une bombe. Le 8 février 2008, des agents de la force Qods du régime des mollahs ont plastiqué la station de pompage d'eau en utilisant plus de 300 kg d'explosifs. Des centaines d'Irakiens qui soutenaient les résidants d'Achraf ont été tués par des agents du régime. Quelques 5.2 millions Irakiens avaient signé, en juin 2006, une pétition qui mettrait en garde contre les dangers posés par le régime iranien en Irak. Ils ont soutenu l'OMPI. Au début de l'année 2009, les Américains ont abandonné son contrôle aux forces armées irakiennes dont on sait qu'elles sont fortement infiltrées par des mercenaires iraniens. Celles-ci ont investi la cité d'Achraf, lui imposant un véritable blocus et des restrictions intolérables. _PETITION_: NOTE : Cette pétition est gratuite. Répondez "non" à la question du serveur vous demandant si vous souhaitez verser une donation. Déclaration en défense des droits des opposants iraniens réfugiés en Irak Un crime contre l'humanité doit être condamné où qu'il soit : maintenant il s'agit des réfugiés iraniens en Irak. Les attaques violentes des forces irakiennes contre 3400 membres de l’opposition iranienne dans le camp d’Achraf en Irak a soulevé l’indignation de la communauté internationale. Ces attaques ont fait jusqu'à présent 9 morts et 450 blessés parmi les réfugiés et donné lieu à un siège oppressif. Les juristes considèrent les événements d’Achraf comme un cas manifeste de crimes contre l’humanité et les organisations de défense des droits de l’Homme comme Amnesty International, la FIDH et l’OMCT se disent préoccupées par cette répression. Elles ont demandé au gouvernement irakien de s’expliquer sur les 50 personnes arrêtées et exposées à la torture. Alors que le soulèvement du peuple iranien pour la liberté prend chaque jour un nouvel élan, le pouvoir cherche une porte de sortie avec la répression de l’opposition et la destruction d’Achraf, pour empêcher l’avancée et le développement de l'insurrection. Fermant les yeux sur ces crimes ignobles, le porte-parole du Quai d’Orsay a estimé « légitime que l'Etat irakien veuille exercer sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire ». Tout en condamnant cette déclaration, nous demandons au gouvernement français, conformément aux valeurs fondamentales de la République, de dénoncer la violence délibérée contre ces réfugiés qui sont des « personnes protégées » en vertu de la IVe convention de Genève et de rappeler au gouvernement irakien leurs droits et leur statut dans le cadre du droit international. traduction en persan: توجه كنيد: امضا كردن مجاني است. اگر پيام ”كمك مالي" از طرف سرور ظاهر ميشود, جواب ”نه” بدهيد. :ترجمه متن طومار به فارسي بيانيه براي دفاع از حقوق مخالفان ايراني پناهنده در عراق جنايت عليه بشريت هر كجا باشد بايد محكوم شود : و الان در مورد پناهندگان ايراني در عراق است. حملات خشونت بار نيروهاي عراقي عليه 3400 عضو اپوزيسيون ايران در كمپ اشرف در عراق وجدان جامعه جهاني را آزرده كرده است. اين حملات تا بحال 11 كشته و 450 زخمي بجاي گذاشته است و يك محاصره ظالمانه بر آن تحميل كرده اند. حقوقدانان بين المللي وقايع اشرف را از مصاديق بارز جنايت عليه بشريت مي دانند و سازمانهاي مدافع حقوق بشر، مثل عفو بين الملل و فيد و OMTC نگراني خود را از اين سركوب ابراز كرده و از دولت عراق در مورد 50 دستگير شده كه در معرض شكنجه قرار دارند، توضيح خواسته اند.. در شرايطي كه قيام مردم براي آزادي هر روز فرازي تازه مي يابد، حكومت چاره را در سركوب اپوزيسيون يافته و با نابودي اشرف مي خواهد از تإثير آن در پيشرفت و گسترش قيام جلوگيري كند. سخنگوي وزارتخارجه فرانسه با چشم پوشيدن به اين جنايت بزرگ, آن را « اقدامي مشروع در جهت اعمال حاكميت عراق بر خاك خود» تلقي كرده است. ما ضمن محكوم كردن اين اظهارات, از دولت فرانسه مي خواهيم مطابق با ارزشهاي بنيادي جمهوري، خشونت عريان عليه اين پناهندگان كه افراد حفاظت شده تحت كنوانسيون چهارم ژنو هستند را تقبيح كرده و حقوق و استاتوي آنها را در چارچوب حقوق بين الملل به دولت عراق يادآور شود. English traduction: PLEASE NOTE: signing is free. If the server asks for a donation, answer with "no". Declaration in defense of the rights of opponents, Iranian refugees in Iraq A crime against humanity should be condemned wherever it is: now it is the Iranian refugees in Iraq. Violent attacks of Iraqi forces against 3400 members of the Iranian opposition in "Ashraf" camp in Iraq has raised the indignation of the international community. These attacks has left 12 people dead and over 450 severely injured thus far and resulted in a resulted in an oppressive scene. Lawyers consider Achraf events as a clear case of crimes against humanity and organizations of human rights such as Amnesty International, FIDH and OMCT express their concern about the repression. They asked the Iraqi government to explain the 50 persons being arrested and subjected to torture. While the uprising of the Iranian people for freedom takes each day a new impetus, the Iranian authority is seeking a way out by suppressing dissents and destructing camp Achraf, to prevent the progress and development of the insurgency inside Iran. Turning a blind eye to these heinous crimes, the spokesman for the Quai d'Orsay considered "legitimate Iraqi state that wants to exercise its sovereignty throughout its territory." We condemn this statement, and we urge the French government, in accordance to the fundamental values of the Republic, to denounce the violence deliberated against those refugees who are "protected persons" under the Fourth Geneva Convention and to remind the Iraqi government of their rights and their status under international law.

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