ALL oral health professionals must receive recognized education
The primary role of dental professionals is to put the health and safety of Canadians first. Dental profession regulators across Canada, with the support from their professional associations, have collectively been committed to excellence in addressing the oral health needs of Canadians for decades.
Dental assistants have been working alongside dentists since the turn of the century. This year, the Canadian Dental Assisting Association (CDAA) is celebrating 100 years of Canadian dental assisting education in recognition of the first cohort of dental nurse graduates from the University of Toronto dental nurse program in 1920. Recommendations in the 1964 Hall Report called upon the dental profession to increase participation of auxiliary workers to compensate for increased demand for services in the post-war Baby Boom. The Wells Report of 1970 contained similar recommendations and most importantly provided specific guidelines for standardized education and certification of auxiliary workers.
I oppose in-office training of clinical personnel being done independently by a dentist or other designated staff member without connecting that training to an accredited dental assistant training program.
I believe that the Canadian public demands and deserves the provision of their oral healthcare by the best qualified dental team possible. Lowering the standards for dental assistant education is no more acceptable than lowering the standards for a dentist’s education.The promotion of online courses that profess to provide a dentist with the knowledge, skill, and ability to independently train an individual to work clinically with patients and provide infection, prevention and control (IPC) in a dental practice does not, in my opinion, protect the public interest and instead serves to devalue the practice and profession of dental assisting. It is not just regulated duties that can pose a risk to patients. Arguably, IPC procedures conducted incorrectly and without background knowledge in areas such as microbiology can be detrimental to both staff and patients. This is not only a matter of public protection but of respect for the credentials and expertise of dental assisting program faculty and of certified and licensed dental assistants.
I oppose the use of the job titles such as “chairside assistant”, “chairside dental assistant” or any other similar title that would imply, (purposely or accidentally), that an individual independently trained by a dentist or other designated staff member is a formally educated/licensed RDA/CDA/DA when they have not passed the NDAEB and/or are not formally educated/licensed to practice in their province as an RDA/CDA/DA.
In some jurisdictions in Canada, the titles of Registered Dental Assistant, Certified Dental Assistant and Dental Assistant are protected titles. The use of such titles for those individuals trained on the job by a busy dentist or other staff member without that individual having obtained licensure by a regulatory body and/or through formal education, does not protect the public interest and in my opinion puts the dental industry at risk of public mistrust.
I implore provincial dental regulators to ensure that the practice of non-accredited in-office training of individuals to serve in the place of formally educated/licensed RDA/CDA/DA in the dental office cease immediately to ensure the safety, health and well-being of Canadians.
I also implore provincial dental regulators to uphold the requirements for licensure, certification and formal education that they have long established for dental assistants across the country.
In the interest of our patients, you need to take action NOW and stop the practice of non-accredited in-office training of individuals to serve in the place of formally educated/licensed RDA/CDA/DA in the dental office.
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Le rôle principal des professionnels dentaires est d’accorder la priorité à la santé et à la sécurité des Canadiens. Les organismes de réglementation de la profession dentaire partout au Canada, avec le soutien de leurs associations professionnelles, se sont engagés collectivement depuis des décennies, à l’excellence pour répondre aux besoins de la santé bucco-dentaire des Canadiens.
Les assistant(e)s dentaires travaillent aux côtés des dentistes depuis le début du siècle. Cette année, l’Association canadienne des assistant(e)s dentaires (ACAD) célèbre 100 ans de formation en assistance dentaire au Canada, en reconnaissance de la première cohorte d’infirmières dentaires diplômées du programme d’infirmière dentaire de l’Université de Toronto, en 1920. Les recommandations du rapport Hall de 1964, invitaient la profession dentaire à accroître la participation des auxiliaires afin de compenser pour la demande de services lors du baby-boom d’après-guerre. Le rapport Wells de 1970, contenait des recommandations similaires et, surtout, fournissait des directives spécifiques pour une formation et une certification normalisées des travailleurs auxiliaires.
Je m’oppose à ce que la formation en cours d’emploi du personnel clinique soit dispensée de manière indépendante par un dentiste ou un autre membre du personnel désigné, sans que cette formation ne soit liée à un programme agréé de formation en assistance dentaire.
Je crois que le public canadien exige et mérite la prestation de ses soins bucco-dentaires par l’équipe dentaire la mieux qualifiée possible. Abaisser les normes de formation des assistant(e)s dentaires n’est pas plus acceptable que d’abaisser les normes de formation des dentistes. La promotion de cours en ligne qui prétendent fournir à un dentiste les connaissances, les compétences et la capacité de former de manière indépendante une personne à travailler cliniquement avec les patients et à procurer les connaissances nécessaires des mesures de prévention et contrôle de l’infection (PCI) dans un cabinet dentaire ne sont pas, à mon avis, protéger l’intérêt du public et sert plutôt à dévaluer la pratique et la profession en assistance dentaire. Ce ne sont pas seulement les tâches réglementées qui peuvent présenter un risque pour les patients. On peut toutefois argumenter que les procédures PCI, menées de manière incorrecte et sans connaissance de base dans des domaines tels que la microbiologie, peuvent être autant préjudiciables au personnel et aux patients. Ce n’est pas seulement une question de protection du public, mais de respect des titres de compétences et de l’expertise des professeurs du programme d’assistance dentaire et des assistant(e)s dentaires certifié(e)s et agréé(e)s.
Je m’oppose à l’utilisation des titres d’emploi tels que « assistant(e) au fauteuil », « assistant(e) dentaire au fauteuil » ou tout autre titre similaire qui impliquerait (volontairement ou accidentellement), qu’une personne formée indépendamment par un dentiste ou un autre membre du personnel désigné est un(e) ADA/ADC/AD formé(e) dans un programme agréé/autorisé, lorsqu’il/elle n’a pas réussi l’examen du BNEAD et/ou n’est pas diplômé(e) et autorisé(e) à pratiquer dans leur province comme ADA/ADC/AD.
Dans certaines juridictions au Canada, les titres d’assistant(e) dentaire agréé(e), d’assistant(e) dentaire certifié(e) et d’assistant(e) dentaire sont des titres protégés. L’utilisation de ces titres pour les personnes formées en cours d’emploi par un dentiste occupé ou un autre membre du personnel sans que cette personne ait obtenu un permis d’exercé d’un organisme de réglementation et/ ou par le biais d’une formation d’un programme reconnu, ne protège pas l’intérêt du public et, à mon avis, peut entrainer la méfiance du public vis-à-vis de l’industrie dentaire.
J’implore les autorités provinciales de réglementation dentaire de veiller à ce que la pratique de former en cours d’emploi des personnes en cabinet dentaire servant à remplacer les ADA/ADC/AD diplômé(e)s et autorisé(e)s, cesse immédiatement afin d’assurer la sécurité, la santé et le bien-être des Canadiens.
J’implore également les organismes provinciaux de réglementation dentaire à respecter les exigences du permis d’exercer, de certification ou de formation qu’ils ont établis depuis longtemps pour les assistant(e)s dentaires à travers le pays.
Dans l’intérêt de nos patients, vous devez agir MAINTENANT et mettre fin à la formation en cours d'emploi des personnes en cabinet dentaire servant à remplacer les ADA/ADC/AD diplômé(e)s et autorisé(e)s.
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